Poème de Catherine Szollosy
Le chant silencieux de la nuit
Le sanglot mélodieux d’un violon qui peine
Quelques pleurs sur une prose
Quelques proses pour ton sommeil
Quelques notes de musique fugitives et passagères
Se posent sur tes cheveux en guise de portées
Le souffle de celui qui veille
Là
Juste à coté
Le parfum de la rose et celui du safran
Ton aurore est à son terme
Ton image disparaît du miroir de la Vie
Et celui qui écoute
Et celui qui regarde
Celui qui reste
Et toi qui t’en vas